Inspiré par le même principe que le précédent, cet amendement d'appel a pour objet de s'opposer au niveau des plafonds des autorisations d'emplois, cette fois-ci pour les opérateurs de l'État. Il s'agit, par exemple, des universités, de Pôle emploi, de Météo France ou du CNRS. Alors que les moyens en personnels de ces établissements sont déjà limités, le fait de baisser les plafonds d'emplois – même s'il ne s'agit pas des emplois proprement dits – oriente ces opérateurs vers une dynamique de réduction des ressources humaines.