Ponctionner près de 2 milliards d'euros supplémentaires sur des dépenses aussi essentielles que le chauffage ou le carburant, c'est s'attaquer directement au pouvoir d'achat des Français. Cette spoliation est d'autant plus scandaleuse que la hausse de la fiscalité énergétique est en réalité une mesure de rendement destinée à financer la suppression de la taxe d'habitation.
Il est insupportable que nos concitoyens paient l'incapacité du Gouvernement à s'attaquer à l'excès de dépenses publiques.