Nous avons bien écouté les arguments qui ont été développés lors de la défense de cette motion de rejet préalable et souscrivons d'ailleurs à un certain nombre d'entre eux.
Monsieur Larive, vos propos ont d'ailleurs été flatteurs pour notre président rapporteur, puisque vous l'avez propulsé à la présidence de l'Assemblée nationale. Or c'est effectivement le premier signataire de la proposition de loi, c'est-à-dire M. Richard Ferrand, qui est aujourd'hui au perchoir : M. Studer devra donc patienter encore un petit peu.