Il sera très difficile d'aboutir à une forme de pondération entre le premier et le deuxième pilier, étant entendu que les questions environnementales relèvent du deuxième et les aides directes du premier. Or les aides directes relevant du premier pilier posent problème dans le cadre financier pluriannuel. Comment parviendrons-nous à trouver le juste équilibre et quelle est, d'un point de vue très pratique, la position de la France ?