Régionales, j'y insiste, et qui ne sauraient avoir grand-chose de local compte tenu de la taille des nouvelles régions françaises… Il faut être conscient que la réalité de l'agriculture peut être très différente d'un endroit à l'autre – par exemple, pour citer le cas de ma région, au bord de la Méditerranée et dans les Hautes-Pyrénées.
Quoi qu'il en soit, ces déclinaisons régionales sont arrivées très tardivement dans le cadre du premier chantier, et les invitations ne nous arrivent que trois jours avant les réunions. Avec nos agendas de parlementaires, et malgré toute la volonté du monde, il nous est difficile de participer à ces travaux. Je dis cela sans volonté polémique. C'est un constat ; peut-être faudrait-il corriger le tir.