J'ai dit au départ que cette demande de rapport était une bonne chose. Dans ma propre circonscription, quatorze communes sont concernées par ces aspects.
Je rappelle que, cette année, beaucoup de départements ont connu des phénomènes de gel ; nous avons conscience de l'existence des intempéries. Nos agricultures dans nos divers territoires sont souvent très spécifiques et c'est précisément la raison pour laquelle nous avons organisé des États généraux locaux afin de prendre en compte leurs spécificités. J'ai seulement expliqué pourquoi il ne fallait pas faire ce rapport maintenant.