Cet amendement va dans le même sens que le précédent. Contrairement à ce que dit M. Bernalicis, il n'est pas question ici de vengeance, mais de reconstruction de la victime.
Il s'agit, en l'occurrence, de donner une place plus importante aux victimes au stade de l'application de la peine. Parce que la protection physique de la victime est parfois en jeu et que sa reconstruction psychologique passe par l'exécution complète de la peine, …