M. Jolivet et M. de Courson ont posé la question de l'origine des fonds. Je les renvoie à la page 55 du rapport, où il est écrit : « Dans l'opération toulousaine, l'APE a dû demander à l'acquéreur de modifier son schéma d'acquisition pour éviter un risque de réputation ; en outre, l'opération avait montré un besoin de renforcer les garanties sur l'origine des fonds. » L'APE en a tiré les leçons dans les cahiers des charges relatifs aux privatisations de Lyon et Nice.