Catherine de Kersauson, présidente de la deuxième chambre de la Cour des comptes :
Nous avons en effet, madame Louwagie, qualifié la situation à Toulouse d'« instable » et d'« ambiguë ». Vous avez parlé, pour votre part, de situation de blocage. Sur les possibilités d'évolution, la Cour n'a pas investigué non plus.