Le traité de 2005, pardon de vous le dire, était déjà très largement inscrit dans la règle de la Banque centrale européenne indépendante, dans le pourcentage de déficit autorisé, déjà fixé, et surtout dans l'ajustement structurel. Nous parlons souvent ici du déficit nominal, qui est évidemment important, mais ce qui fait l'objet d'une discussion politique européenne très profonde, c'est l'ajustement structurel que propose la Commission. Ce sujet est un peu éloigné, il faut bien le dire, des débats que nous avons dans l'opinion publique et ici même.
Par ailleurs, il est assez étonnant, monsieur Coquerel, que vous ne citiez plus aujourd'hui l'exemple de l'Italie.