Monsieur Coquerel, vous pouvez expliciter les choses comme vous le souhaitez. Il y a évidemment beaucoup de pauvreté et de difficultés sociales dans le pays, sinon nous ne serions pas là, et les choses auraient sans doute suivi le cours de la politique telle qu'elle a été conduite ces quinze ou vingt dernières années. Avouez quand même que, dans l'économie française, un certain nombre de politiques publiques mises en place sauvent une partie de nos concitoyens de la misère, et que la démocratie sociale a permis de répondre à certains impératifs. Toutes les solutions économiques que vous avez proposées se sont terminées par des difficultés plus fortes pour les gens du peuple.