Vous avez fini, monsieur Corbière ? Je peux continuer ?
Une position équilibrée face à ceux qui sacrifient nos fleurons industriels Alstom et STX sur l'autel d'un géant européen dans lequel les intérêts et les emplois français seraient toujours secondaires. Une position équilibrée face à ceux qui pensent que la création de listes transnationales aux élections européennes ou la disparition du commissaire français donnera plus de poids à notre pays.
Mes chers collègues, face aux « euro-phobiques » et aux « euro-phoriques », nous serons, à droite, « euro-réalistes ».