Certes, il ne s'agit pas de suppression de postes « en dur » puisque les emplois ne sont pas consommés à l'heure actuelle. Mais en réduisant de manière aussi radicale les plafonds d'emplois, on se prive de marges de manoeuvre pour embaucher à l'avenir et on bloque les possibilités de développement offertes aux gestionnaires. Nous ne l'acceptons pas. Voilà pourquoi nous demandons la suppression de l'article 8.