Madame la députée, je mesure votre investissement sur les questions de santé publique.
Je suis en ce qui me concerne tout à fait favorable à travailler avec vous à cette interdiction, c'est-à-dire à voir comment nous pouvons rédiger, sur le plan législatif, un texte qui soit faisable techniquement et peut-être plus simple que la taxe qui avait été proposée.
Je suis également ouverte, bien entendu, à une discussion plus large sur la question des addictions : nous aurons l'occasion d'en parler à l'article suivant, notamment à travers le binge drinking, l'alcoolisation aiguë, chez les jeunes. Nous devons faire mieux, ce qui est l'objet du plan « priorité prévention » que je défends. Un certain nombre de mesures concernent cette question : je les détaillerai en défendant le prochain amendement du Gouvernement.