Sans être mauvais camarade, je m'étonne un peu que les sénateurs aient laissé passer une telle mesure, y compris, d'ailleurs, les sénateurs des Pyrénées-Atlantiques puisque le jurançon et le madiran, par exemple, sont visés, de même que le tursan, comme me le rappelait Boris Vallaud.
D'autre part, monsieur le ministre, il importe que nous apportions des réponses durables aux viticulteurs, qui ont besoin d'une fiscalité linéaire. Je souhaite donc que vous entriez en contact avec eux pour leur rappeler les dispositions fiscales qui les concernent. De fait, une augmentation de 11 euros du litre de jurançon, de tursan ou de pacherenc-du-vic-bilh aurait signé l'arrêt de mort de ces vignobles.