Vous avez annoncé un grand débat, c'est un premier pas. Nous émettons à nouveau le souhait qu'un Grenelle des territoires se tienne et nous nous associons aux propositions des présidents des régions de France.
Monsieur le Premier ministre, nous partageons le constat et nous portons l'ambition tout autant que vous, mais la méthode ne nous convient pas et ne convient pas aux Français. Accepteriez-vous enfin un moratoire sur l'augmentation des taxes écologiques ? Accepteriez-vous d'utiliser les 15 milliards de fiscalité écologique pour la conversion écologique et de reprendre à votre compte notre initiative appelant à un Grenelle des territoires ? Ainsi, monsieur le Premier ministre, nous redonnerons aux Français confiance en un avenir commun.