Cela crée également, je le rappelle à mon tour, une distorsion de concurrence entre la France et les pays voisins, les coûts étant majorés de 37 % par rapport à l'Italie, de 27 % par rapport à l'Allemagne et de 35 % par rapport à l'Espagne. C'est incompréhensible et insupportable pour les secteurs de la viticulture, de l'arboriculture, du maraîchage et de l'horticulture. Ce dispositif était bien encadré puisqu'il était limité à 110 jours par an ; je ne comprends donc pas pourquoi nous le remettons en cause.