Madame la ministre, ce que vient de dire mon collègue est très important. Si, à l'intérieur de l'hôpital, il y a une maison de garde où des généralistes peuvent accueillir les patients, on sait qu'en cas de besoin, il suffira de passer de l'autre côté de la cloison pour trouver services spécialisés et soutien médical pour prendre le relais.
Je renvoie Thomas Mesnier à son excellent rapport sur les soins non programmés, que j'ai lu à plusieurs reprises : il y explique lui-même…
Pardonnez-moi, madame la ministre, si je dérange votre conversation. C'est tout de même une question importante ! Vous pourriez avoir l'amabilité de m'écouter.