Vous affichez une autosatisfaction indécente en réaffirmant que la hausse des taxes de janvier sera bien maintenue. Je dis bien « indécente », monsieur le Premier ministre, car nos concitoyens souffrent et vous ne les entendez pas. Sous prétexte d'écologie, vous punissez nos concitoyens qui vivent à la campagne et qui n'ont pas d'autre choix que de prendre leur voiture pour aller au travail, à l'école, à des rendez-vous médicaux ou à des engagements associatifs.