Puisque nous évoquons la prévention, nous regrettons que cette dernière ne soit aujourd'hui ni gouvernée, ni évaluée dans notre pays. Les politiques de prévention sont disparates, non-coordonnées. Je rappelle que Santé publique France, agence qui travaille notamment sur la prévention des addictions, ne compte que sept experts pour évaluer l'ensemble de ces politiques : sept experts pour 66 millions d'habitants, c'est très notoirement insuffisant !