Ce sujet soulève des questions. Il s'agit, en quelque sorte, d'un amendement de gestion de la pénurie. Comme vient de le rappeler Mme Iborra, il existe un débat à ce sujet parmi les médecins coordonnateurs eux-mêmes. Pour en avoir rencontré de nombreux, je sais que certains ne souhaitent pas qu'on leur accorde un droit de prescription. Ils estiment qu'une telle évolution pourrait les amener à accomplir des tâches, des fonctions ou des missions qui ne leur incombent pas à l'heure actuelle. Je me permets donc de rappeler les interrogations suscitées par le dispositif proposé.