Pourtant, je vous avais alors expliqué – et je reprends à mon compte les excellents propos de M. Mignola – que l'idée d'une taxe dédiée était une fausse bonne idée.
Nous voulons tous améliorer la connaissance en matière de cancers pédiatriques, qui posent aujourd'hui deux problèmes.
Le premier concerne le développement des médicaments : nous n'avons pas assez de médicaments pour les enfants. L'industrie pharmaceutique préfère en effet les développer pour les adultes car, le nombre de malades étant plus grand, cela rapporte davantage.