Ce geste, s'il n'est pas souhaitable, peut arriver. Il existe. C'est pour cela que vous traitez le sujet. Mais qu'arrivera-t-il demain aux parents bienveillants qui, une seule fois, et souvent contre leur gré, auraient été excessifs dans leur geste ou dans leurs mots ? Au fond, vous voulez interdire un geste sans mesurer que celui-ci répond bien souvent, pour les parents, à une situation de désespérance ou de détresse. Face à cette situation, comment les accompagnez-vous ? Ni la rédaction du texte, ni vos réflexions n'y répondent.
De plus, il est fort cocasse que ce texte vienne du groupe politique de François Bayrou, engagé dans la campagne électorale de 2017 mais dont le seul projet politique se résume à une claque donnée à un enfant dans la rue !