Je suis évidemment lucide sur le fait que cette proposition de loi ne sera pas adoptée ce soir. Je le regrette, parce que les mesures que j'ai évoquées font partie de la feuille de route : nous souhaitons donc les voir inscrites dans le marbre de la loi pour changer le quotidien des associations le plus rapidement possible. Je prends l'engagement de travailler au retour de ce texte dans un délai rapproché, le cadre restant à définir. Il nous faut achever son examen et l'adopter, parce que les mesures importantes qu'il contient sont attendues par les associations.
Simplifier le quotidien des associations, tel est l'objectif commun qui nous rassemble par-delà les clivages politiques. Je remercie les députés qui sont restés pour nous écouter, tout en sachant que les articles du texte ne pourraient pas être examinés. Nous savons que la République n'aurait pas le même visage sans les associations. Or c'est ce visage-là de la République que nous voulons renforcer et soutenir.