Si nous avions déposé une proposition de loi il y a quelques années, c'est parce que nous avions constaté que beaucoup de ces praticiens, dont on a un grand besoin, échappaient au contrôle : ils ne veulent pas passer l'examen. C'est ainsi qu'ils se retrouvent dans une situation d'exercice quasiment illégal de la médecine. À cet égard, il faut prendre en compte, et nous sommes tous d'accord sur ce point, deux impératifs : d'une part, la compétence, qui doit faire l'objet d'une validation, et, d'autre part, la connaissance de la langue française. Il faut que nous maintenions ces exigences.