Je dois d'abord remercier notre rapporteur pour la qualité de ses réponses. Je citerai l'exemple d'une jeune oto-rhino-laryngologiste (ORL) d'Île-de-France, diplômée en Algérie, qui a raté le dernier concours, en se classant à la quatrième place avec une moyenne de 18 sur 20… Cet exemple illustre l'« étroitesse » du système actuel. Il importe donc de reconnaître des praticiens diplômés et qualifiés grâce à des procédures adéquates. Le cadre actuel semble juste, mais il doit être étendu et amélioré.