Mes chers collègues, le président de l'Assemblée nationale, qui présidait la séance tout à l'heure, a répondu à vos interrogations – au demeurant très légitimes. Demain, la conférence des présidents fixera le calendrier de la semaine. Pour l'heure, nous poursuivons nos débats jusqu'à vingt heures. J'ai bien noté qu'une réunion se tiendrait ensuite. Nous allons essayer d'enchaîner en poursuivant l'examen du texte en séance publique, puisque nous devons respecter un calendrier pour l'examen de ce texte important.
Je vous propose donc de poursuivre nos débats, à moins, monsieur Habib, que vous ne mainteniez votre demande de suspension ?