Il nous veut tous à sa botte, inféodés, le doigt sur la couture du pantalon.
Puisse cette crise, enfin, lui ouvrir les yeux, vous ouvrir les yeux, monsieur le Premier ministre, sur le danger majeur d'une révision de la Constitution qui renforcerait les pouvoirs personnels d'un président dont nous jugeons, avec les Français, que sa politique et son comportement sont dangereux.