Ils n'aspirent pas forcément au grand large de la mondialisation débridée. Ils contribuent par leur travail à la prospérité du pays. Ils ne demandent qu'une chose, simple mais restée étrangère à M. Macron : le respect de ce qu'ils sont au plus profond d'eux-mêmes.
La faute de ce Président, la vôtre aussi, c'est d'abord ce manque de respect. Oui, les « illettrées de Gad », les « Gaulois réfractaires », « ceux qui ne sont rien », « ceux qui roulent au diesel et fument des clopes » et tant d'autres ont décidé de relever la tête.