Mais, monsieur le Premier ministre, quand le cap n'est pas bon, il faut en changer ! Il vous aura fallu trois semaines de saccages et de blocages pour enfin réagir et pour, dans les pires conditions, remettre en cause vos propres décisions. Vous avez donné l'impression d'avoir entendu les Français ; les avez-vous seulement compris ?
Vous êtes toujours en retard d'une mesure. Contraint et forcé, vous avez annoncé le fameux moratoire de six mois.