Je conclus, monsieur le président. La fiscalité environnementale n'a de sens que si elle juste et acceptée de tous. Elle doit être un facteur de justice sociale et fiscale ; elle doit être une fiscalité transversale et de substitution. Elle ne doit pas venir ajouter de l'impôt à l'impôt. Enfin, elle doit être transparente et fléchée pour éviter que ne perdurent le sentiment d'injustice face aux gros pollueurs, mais aussi le sentiment d'être trompé par l'argument écologique.