Douce France, chère France, une fois de plus, tu nous prends au dépourvu, tu nous coupes le souffle et tu nous laisses sans réponse. Parce que la France, au fond – nous l'avions oublié – , reste la France. Tantôt c'est Paris qui érige ses barricades, tantôt ce sont les campagnes qui, n'en pouvant plus, se font entendre à leur manière. Elles n'ont pas souvent été aidées par l'histoire. Les réseaux sociaux ont ici peut-être contribué, ce qui n'était pas le cas à une autre époque où elles s'étaient lancées en entonnant : « Ami, entends-tu…