Vous prônez une transition brutale – à l'image de la plupart de vos politiques libérales – , à marche forcée. Cette transition est tout sauf solidaire : elle frappe durement les petits salaires, les petites retraites et les territoires les plus endettés, alors que vous avez supprimé l'impôt sur la fortune. N'aurait-il pas mieux valu introduire une fiscalité énergétique mettant également à contribution les grosses fortunes et les industries les plus polluantes, plutôt que ceux qui ont du mal à boucler la fin du mois ?