y compris au vu de sa capacité à désavouer son Premier ministre à un moment-charnière pour notre République.
Monsieur le président, nous avons, les uns et les autres, commenté l'actualité. J'étais de ceux qui souhaitaient que nous soyons tous très respectueux de l'ordre public et que nous adoptions, dans le contexte actuel, une attitude mesurée. Mais quand je vois un Premier ministre venir devant la représentation nationale annoncer en toute bonne foi différentes mesures à propos desquelles il s'était mis d'accord, j'imagine, avec le Président, et, une fois le vote passé, celui-ci le désavouer ainsi que la représentation nationale,...