Merci monsieur le ministre. Je ne pense pas qu'il y ait de sentiment anti-allemand chez aucun d'entre nous, en tout cas surtout pas dans ma question liminaire ! Mais j'ai relevé, comme d'autres, la différence assez stupéfiante d'attitude d'un gouvernement qui ne voulait pas des Italiens cet été, en tout cas pas dans ces conditions. Vous avez apporté des réponses, elles auront convaincu ou pas ; reste que la différence d'approche sur ces deux dossiers, dont l'un concerne un actionnaire italien et l'autre un actionnaire allemand, a de quoi étonner, à deux ou trois mois d'écart.