Je vous donne acte, M. Pietraszewski, de ne pas avoir mis en cause la présidence et je vous en remercie. Seulement, et ce qui vaut pour le présent texte vaut pour les autres, il faut, à un moment donné, que la discussion avance.
Je rappelle que selon l'article 100, alinéa 7 du règlement, on n'a à donner la parole qu'à un orateur opposé à l'amendement en discussion. C'est tout. Comme le présent débat est important, et que nous sommes dans le cadre d'une « niche » parlementaire – et j'ai suffisamment vécu dans cet ancien monde qui parlait des niches « bien nommées », parce qu'on renvoyait les députés de l'opposition à la niche, pour ainsi dire – j'ai laissé des représentants de chaque groupe s'exprimer.
Mais, sincèrement, mettez-vous à ma place : s'il y a trois ou quatre demandes par groupe… J'ai refusé la parole à des députés du groupe LR ou du groupe UDI, Agir et indépendants – le mien ! – , j'ai refusé à M. Dharréville de reprendre la parole. On ne me prendra jamais en défaut en la matière. Je n'ai rien dit d'autre, et je persiste et je signe.