Il s'agit là non pas de technocratie, mais de politique. Il s'agit de familles, d'hommes et de femmes qui souffrent car ils doivent s'occuper d'enfants, de parents, de conjoints malades ou fortement dépendants. Et que faisons-nous pour les aider ? Nous faisons – excusez-moi de le dire – n'importe quoi ! Nous sommes en train de vider ce texte de sa substance en renvoyant le problème des aidants proches aux calendes grecques, simplement par manque de courage.
Ce texte est bon : nous devrions tous nous y rallier, nous devrions tous le voter.