Je reviens d'un mot sur les zones touristiques internationales et la question qu'a posée le président M. Yves Blein, sans qu'une réponse lui soit apportée, concernant le petit commerce familial qui ne peut affronter les mêmes contraintes que les grandes enseignes, et qui d'ailleurs n'a pas toujours le niveau d'information requis pour satisfaire à ces contraintes. Il y a donc une inégalité entre les différentes catégories de commerce au sein même de ces zones touristiques internationales.
Par ailleurs, je voudrais mentionner à l'attention de tous la question particulière de l'ouverture des restaurants le 1er mai. Il se trouve qu'une catégorie très limitée d'inspecteurs du travail a effectué des contrôles le 1er mai dans une ville qui s'appelle Dijon ; ils ont dressé des procès-verbaux parce que les restaurants étaient ouverts le 1er mai. Or nous mangeons tous les jours, y compris le 1er mai. C'est une question que je livre à votre réflexion, car nous devons apporter une réponse, étant donné que cela peut se reproduire sur l'ensemble du territoire, ce que nous ne souhaitons pas. Il en a coûté 750 euros par employé constaté ce jour-là !