Nous avons tous à l'esprit les enjeux de financement de la politique de la biodiversité et de l'eau, et le rôle très important des comités de bassin et des agences de l'eau. Monsieur Saddier, vous savez que je les défends et que je continuerai de le faire, non par obligation mais parce que j'estime que c'est nécessaire.
Pour autant, je resterai cohérente : ils sont mentionnés comme membres du conseil d'administration ; ils y ont donc leur place. Laissons au Gouvernement la responsabilité de réfléchir aux équilibres. Je suis défavorable à toute mention chiffrée dans le projet de loi.