… que notre économie perde de sa dynamique et de sa croissance, que la République même soit menacée dans ses fondements les plus profonds.
Pourquoi, monsieur le Premier ministre, avoir attendu si longtemps pour apporter ces premiers éléments de réponse dont on sent bien, d'ores et déjà, qu'ils n'apaiseront ni toutes les colères ni toutes les inquiétudes ?