Nous vous entendons, madame la ministre, mais nous avons vraiment du mal à comprendre votre position. En quoi serait-il négatif d'introduire un peu d'humanité en détention au moment de l'incarcération ? Demander un parloir, la possibilité d'une relation avec un proche ou un membre de la famille, ce n'est pas la révolution ! Cela semble au contraire tout à fait naturel.