Je vais répéter ce que j'ai déjà dit maintes fois : que pouvons-nous faire quand nous constatons que la réalité ne correspond pas à vos descriptions ? Faut-il vous adresser une question écrite à laquelle vous répondrez au bout de six mois, avec un bla-bla invraisemblable, et qui ne réglera rien ? Excusez-nous de vouloir introduire dans la loi des garanties, ici pour les femmes en détention qui disposeraient d'une sécurité juridique opposable. Sinon, que devons-nous faire ? Nous dire qu'ainsi va la vie, que les jours passent et qu'on verra plus tard ? Non, on ne verra pas plus tard : c'est maintenant que le problème se pose, c'est maintenant qu'il doit être réglé.