La réforme prévoit que cinq euros seront prélevés pour chaque permis national validé, et abondés par l'État de dix euros par chasseur. Mais elle ne précise pas d'où proviendront ces dix euros. Or nous craignons qu'une fois encore, ce soient les agences de l'eau et le département en charge des espaces naturels sensibles qui financent ce fonds.