Sur le processus du Spitzenkandidat, la réflexion est ouverte et Mme Merkel n'était pas totalement favorable. Je voulais également souligner que la France s'appuie sur l'Espagne et l'Italie, mais celle-ci a changé de position depuis la dernière élection. Je voulais également mettre en avant ce processus aux fins de redynamiser le projet européen, de le rendre plus transparent. Il faut continuer à promouvoir le caractère véritablement européen et global de ce processus électoral à l'échelle du continent.