La mort a frappé hier soir, dans les rues de Strasbourg, au coeur de l'Europe, au coeur de sa capitale, semant la terreur, l'effroi et la colère. Dans ce moment, nous avons demandé le report de l'examen de la motion de censure.
Trois morts, douze blessés : nos pensées vont aux victimes, à leurs familles et à leurs proches. Nous pensons, en cet instant, à celles et ceux qui continuent à lutter pour la vie.
Notre reconnaissance va aux forces de l'ordre, aux militaires, aux policiers et aux gendarmes