En ce qui concerne le nombre de postes ouverts, notre logique n'est pas de le fixer dans la loi. Les chiffres bougent, et ils varient selon les spécialités.
S'agissant de votre proposition, la gestion d'un tel statut ne relèverait pas du Conseil de l'ordre. L'inscription ordinale n'est ni un examen ni un concours. Avis défavorable.
Mais nous en revenons à la question de la validation des acquis. Monsieur Vigier, dans les nouvelles modalités de validation, il y aura une évaluation dans le temps, mais elle ne durera pas nécessairement trois ans. Voyez, je vous réponds…