Plus exactement, comme les autres signataires de la motion de censure, vous sautez sur votre banc, tel le cabri cher au Général de Gaulle, en criant : « ISF ! ISF ! ISF ! » Avec tout le respect que je vous dois, permettez-moi de vous dire que le cabri risque de s'essouffler.
Au cours des presque quarante ans d'existence de cet impôt, sur ces bancs-ci, vous l'avez défendu. Pendant quarante ans, sur ces bancs-là, vous l'avez honni, sans jamais avoir le courage de le supprimer, sauf pour une courte période.