Nous taxons la rente et l'argent qui s'immobilise, mais nous réduisons l'impôt sur l'argent qui reste agile et peut trouver à s'investir dans l'économie réelle, la croissance et l'emploi. Nous nous y sommes engagés. Nous évaluerons les conséquences de cette réforme dès l'année prochaine et en tirerons toutes les conséquences.
Toutefois, le débat récurrent sur l'ISF masque une certaine conception du social. Sur ce sujet, c'est vrai, nous ne sommes vraiment pas d'accord. Nous autres, députés de La République en marche, sommes fiers de ce désaccord. Nous, nous pensons qu'il faut créer de la richesse pour pouvoir la redistribuer, et qu'il faut pour ce faire libérer le travail ainsi que la capacité à prendre des risques et à entreprendre.