J'ajouterai un mot de façon amicale : rendons hommage à tous ceux d'entre nous qui sont venus siéger cet après-midi.
Que vous ne soyez pas d'accord avec ce que nous proposons, chers collègues, rien de plus normal mais, franchement, n'utilisez pas l'argument de l'obstruction parlementaire ! Ce faisant, et sans vous en apercevoir, vous défendez une conception totalitaire du débat.