Hier, l'Assemblée nationale a marqué sa communion unanime avec les Alsaciens, les meurtris, les morts. Cette unanimité a fait penser à d'aucuns qu'il fallait, dès lors, que tout cesse, notamment qu'il n'y ait pas de débat aujourd'hui. Ils ont tort, et je vous sais gré, monsieur le Premier ministre, de l'avoir dit hier.